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17/03/2016

Lulubelle





On connait de Didier Beauvalet et Merryl M., les deux moitiés de LULUBELLE, leur sens de l'humour et leur engagement envers de multiples formes d'expression et de libertés sonores.

Concert pour boîtes à meuh, jouets musicaux et électronique.

Se jouant de manière inédite d'une invraisemblable panoplie de jouets sonores qu'ils pratiquent avec un sérieux de concertistes, les duettistes de LULUBELLE nous gratifient d'une musique déjantée et bouillonante d'inventions, élaborée par combinaisons de matériaux acoustiques et électroniques.

Cultivant l'art du non-sens, du détournement et des explorations loufoques, les deux musiciens nous embarquent dans un spectacle indiscipliné et irrésistible.

                                                                                                                                 Sylvie Naulot.

 

 
podcast

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                     Photographies : Rolland Biessy 

 

 

22/01/2016

Lulubelle

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27/09/2015

Féerie Tells en concert

Concert éléctroacoustique pour une comédienne et un musicien. Une création du Théatre de Mazade (Aubenas).

"Féerie Tells en concert" est une variation sur trois contes de fées : Blanche Neige, le Petit Chaperon Rouge et les Trois Petits Cochons. Alison Corbett et Didier Beauvalet nous donnent à voir et à entendre la partition la plus récente de ce spectacle en langue anglaise, nous entraînant dans un parcours relevant de la musique concrète, de l’électronique, de la poésie sonore.

Un saisissant concert « so british », empreint de « nonsense » et peuplé de paysages inouïs.

 

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                           Photographie : Wesley Baudez

19:36 | Lien permanent

02/04/2015

Chœur de pierres

Chœur de pierres, ou comment le chant advint au minéral.

 

Articuler l’acoustique et l’électronique, l’instrumental et le minéral, l’extrême fixité et le mouvement, c’est à ces jonctions que nous convie, avec son habituel sens de l'humour, l'artiste sonore Didier Beauvalet, dans “Chœur de pierres”, un réjouissant concert électroacoustique pour deux instrumentistes, seize pierres et bande magnétique.

“Chœur de pierres” inventorie et exploite le potentiel sonore du monde minéral. Le matériau enregistré, transformé, expérimenté, est proposé sous la forme d’un concert où la singularité des sons produits en direct se mêle intimement à la bande magnétique travaillée préalablement en studio. En se recomposant et en se mariant entre elles, les sonorités trouvent une forme de dialogue et de cohérence  insoupçonnés.  

Un hommage sonore et visuel, une promenade pertinente, subtile et jubilatoire au cœur de l’élément minéral.

                                                                                                         Jean-Baptiste Dolmey

 

avec : Marie-France Lancry : pierres, cailloux.
            Didier Beauvalet : pierres.
            Gilles Ribes : sonorisation.
            Philippe Fournier : photographies.

 

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     en écoute...
podcast

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

26/10/2014

Paroles d'usagers en écoute (bientôt...)

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Paroles d'usagers

 

Juin 2014, journées anniversaires du CAUE de l'Ardèche - 35 années - Exposition Collectivités.                         Installation sonore intégrée à l’exposition. 

Selon le dispositif initié par Georges Perec le 19 mai 1978 au carrefour Mabillon à Paris,  des habitants des communes ardéchoises de Cruas, Lemps, Saint-Cyr, Saint Michel de Chabrillanoux proposent une "tentative de descriptions de choses vues". Le paysage est raconté, inventorié, chacun des  participants s'efforçant de ne pas donner son point de vue mais le point de vue sur un récent aménagement paysager et architectural remarquable de la commune.

 

Avec les voix de Solange A., Christine T., Manon B., Guy L. Enregistrements in situ réalisés en mai 2014.

 

 

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                      Photographies CAUE

 

 

 

 

 

 

25/10/2014

Les sons du mur

Juin 2014, journées anniversaires du CAUE de l'Ardèche - 35 années - 

Concerts "nouveaux matériaux, constructions innovantes"

Conception et réalisation du mur : CAUE, Pierre Grulois.

Interprétation : Merryl M, Didier Beauvalet.

 

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                                     Photographie : MM

 

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                       Photographie CAUE, Pierre Grulois

 

 

11/09/2014

Pas à pas

De 1 an à beaucoup plus grand : un concert qui s'adapte à tous les âges de l'enfance. 

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15/12/2012

Alma brasileira

"Si l'on mesure l'impact d'une œuvre d 'art à la trace qu'elle laisse dans l'imaginaire de ceux qui la contemplent, alors « Tissages & Métissages »le spectacle donné dimanche après-midi dans la nouvelle salle des fêtes de Saessolsheim, rénovée et acoustiquement performante, fut une grande réussite. Le public d'ailleurs ne s'y est pas trompé et s'est rendu nombreux à l'invitation de la compagnie Alma Brasileira ce 3 décembre à 17h30 pour découvrir les liens tissés entre la France et le Brésil au tournant du XXè siècle.

Un voyage, une traversée en images, en sons et en musiques ont évoqué les ponts jetés par dessus l'océan entre les climats, les cultures, l'ancien et le nouveau. La voix délicate et fraîche de Caroline Magalhães mêlée aux sonorités chaudes et subtiles du violoncelle de Cécilia Bouchet-Ferrier, toutes deux soutenues par le jeu à la fois discret et pertinent, toujours précis et sensible du piano d'Anne-Catherine Kaiser ont décliné durant deux toutes petites heures leur passion pour ces musiques des deux rives. L'éclairage des images de ces peintres sonores que sont Debussy, Satie, Fauré ou Ravel par les rythmes hispaniques d'un Manuel de Falla, ou ceux plus exotiques d'un Villa-Lobos ou d'un Luciano Gallet cherchant à « comprendre et/ou assimiler le folklore de leur propre pays » a judicieusement été contrebalancé par les chansons et mélodies à danser de Chiquinha Gonzaga, compositrice unifiant la culture de la vieille Europe à celle si vivante du Brésil afin de créer du neuf et du vivant.

C'est cette nouveauté, cette emprise dans notre réalité qu'ont évoquées les deux complices qui donnent à ce qui aurait pu juste être un très beau concert sa dimension de spectacle complet. Passionnés de sons et d'images et virtuoses des technologies d'aujourd'hui, ils ont mis leurs compétences au service des musiques afin de créer les paysages évocateurs : longs plans de nuages parcourant le ciel, de bâtisses de style colonial entourées de végétation, images en mouvement d'oiseaux, de voyages, de traversées où passé et monde contemporain se rejoignent....Jean David Delépine cherche à donner un supplément de sens au « Tissage » en l'ancrant dans une réalité contemporaine, celle du visuel et de l'image numérique. L'approche sonore pleine d'humour et de poésie de Didier Beauvalet ajoute quant à elle la touche de surréalisme et de fantaisie qui donne à l'ensemble la légèreté méditative qui fait les grands moments.

Ce fut un très beau spectacle qui résonne et rayonne encore, laissant la trace d'une vraie rencontre entre les civilisations, croisant les mondes classiques et folkloriques, désuets et pourtant vivants, gais et profonds à la fois, toujours originaux. Un « Tissage » lumineux..."

Les Dernières Nouvelles d'Alsace.

 

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11/02/2012

Passé sous silence

 Public lycéen/une conférence-spectacle en trois reprises de treize minutes


Technicien du son, pédagogue, compositeur, metteur en scène, homme d’habituelle discrétion, Didier Beauvalet sort de sa réserve pour nous proposer “passé sous silence”. Un silence qui pour l’heure vaut avis de tempête. Car il s’agit de hausser le ton face aux dérives sonores dont les jeunes générations sont les victimes désignées.

Sans esquiver que la violence sonore fait partie d’une expérimentation du risque propre aux rites de passages juvéniles, “passé sous silence” explore une voie nouvelle dans la médiation avec les publics adolescents. Dans la continuité du travail institutionnel de prévention mené depuis ces dernières années, ce spectacle, sans développer de discours insistant, place les ressorts de la sensibilité et de l’imaginaire comme forces du propos.

Seul en scène, dans une scénographie habilement étudiée pour les salles des collèges et lycées, Didier Beauvalet nous entraîne dans une joute onirique, convoquant  les héros mythologiques Orphée et Ulysse, l’œuvre au noir du peintre Goya, la poésie lumineuse de Keats...Et puis il y a Marthe, Romain, Jérémie et les autres, ces très jeunes adultes confrontés quotidiennement aux effets gravement invalidants de l’hyperacousie et des acouphènes. Présences saisissantes au détour d’un visage, d’un écrit, d’un témoignage.

Mais le spectacle est également une remarquable éducation à l’écoute : enflements des sons du quotidien, polyphonies acouphéniques, superpositions vocales, effleurements, caresses auditives et chuchotements. Nous nous surprenons à tendre l’oreille pour accéder à la palette des nuances perceptives, saisir la richesse sonore qui nous entoure, mais que nos comportements menacent d’irrémédiablement nous soustraire.

Passé sous silence  allie efficacité et légèreté pour aborder une réalité poignante et nous offre une plongée étourdissante dans le monde des atteintes auditives d’origine traumatique.

Et  tout cela est fort bien dit, sans compassion, sans catastrophisme, avec beaucoup de punch et d’élégance.     

                                                                                                                                Sylvie Naulot      



 

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                                         Photographie : Didier Delange

                                                                                                                                                                                                                                           

 

10/02/2012

Le salon d'écoute

Un théâtre de l’entendre : un studio son public dans lequel se mêlent  plaisir de l’écoute haute fidélité, performance électroacoustique de composition de paysages urbains, exploration des multiples dimensions du sonore : technique, sensible, ludique.

Le son  “réel “ nous amène à faire fonctionner notre imaginaire, mais le son imaginé convoque souvent un imaginaire décuplé. C’est en confrontant ces deux flux sonores que je propose un théâtre de “l’entendre”, mû par une aspiration à inventer, échanger, témoigner d’un savoir faire autant que d’une volonté de transmettre.

À travers l’agencement singulier et pertinent des événements sonores et la compréhension des modalités de leur perception, j'élabore une  partition urbaine qui vient chercher chaque auditeur-spectateur pour le conduire dans un parcours de connaissance-reconnaissance sonore de la cité. Dans le mixage des multiples voix urbaines, dans la relation entre la morphologie du lieu et son empreinte sonore, dans le va-et-vient entre la continuité et l’événement, je propose une symphonie urbaine imaginée et, avec elle, l’amorce de nouvelles modalités d’écoute et de partage. 


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                       avec Merryl M. et Didier Beauvalet.

                       Photographie : David Martin





07/02/2012

Échappées belles...urbanité 1


Installation : 20 casques HF (sans fil) suspendus, diffusant un programme de 60 explorations sonores à découvrir et à retrouver parmi des propositions apposées aux murs (liste exhaustive, photographies, plans…).

Ce travail révèle les sons et les voix de la ville, ouvrant un champ autre que celui de la lecture classique de la réalité urbaine. Par une exploration passant par la collecte de moments sonores - fond stables, séquences localisées, signaux-événements,espaces domestiques - j’élabore une cartographie originale qui alterne les échelles diverses, puzzle ou kaléidoscope sonores renvoyant aux multiples facettes de la cité.

Évoluant du jadis au contemporain, du plus fort au plus ténu, du collectif à l’individuel, je définis la ville non seulement comme un lieu géographique mais également comme une accumulation de mouvements pluriels et d’expériences temporelles.


Mes plus vifs remerciements au CAUE du département de l'Ardèche, à sa directrice, Madame Isabelle Bon, à Rémy Maisonneuve, et à l'ensemble de l'équipe.



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